Dans les pentes des Corbières et les garigues,
Le Romarin parfume l’air de senteurs uniques
Et dans le bruissement de la vie neuve du printemps
La colline rougeoie des jeunes feuilles en présents
La Myrte, le Buis et le thym peuplent les rochers
Des Ajoncs épineux et des Genévriers
Côtoient les bruyères Cendrées sans âges,
Et les lavandes Stoïkas sauvages.
Sauterelles et Bourdons bruissent dans cet écrin
Les Abeilles polennisent les fleurs de Romarins
Les jeunes orchidées bleus sortent de terre
Et les oiseaux survolent paisiblement cette Aire.
Une paisible ambiance comme un chant,
Résonne de toutes ces vibrations au vent
Qui au loin joue dans les branches
Les Pins Maritimes saluant se penchent.
Un ange en prière annonce le soir
Dans la nuit douce infinie se répand le noir
Son mystère nous ouvre des portes de sagesses,
Si on sonde les bienfaits des rêves et leurs largesses.
Juliette
Douce Nuit